L’on a coutume de dire qu’une personne qui disparaît, c’est « une bibliothèque qui brûle ». C’est ma mère qui m’a donné l’idée de ce métier d’écrivain public, « rédactrice de biographies ». Elle a réalisé le récit de vie de ma grand-mère maternelle, en allant la voir deux fois par semaines dans sa maison de retraite. J’avais lu ce récit d’une traite, dès qu’il avait été imprimé. Mais à sa mort en 2016, je l’ai relu d’une toute autre manière : je l’ai dévoré, j’ai bu chaque mot, chaque virgule me parlait d’elle. Quel cadeau précieux !
Souvent, nos êtres chers nous racontent des petites anecdotes au cours de repas de famille, ou d’appels téléphoniques. Chaque frère et sœur et chaque cousin-cousine a un fait en tête, qui l’a marqué, ou dont il se souvient particulièrement. Mais qui a en mémoire l’histoire complète de son grand-père, sa grand-mère ? Nous avons des petits bouts, des morceaux d’histoire. Mais bien souvent, malheureusement, lorsque nous perdons cette personne que nous chérissions, une multitude de questions nous viennent à l’esprit. « Si elle était encore là, je lui demanderais si… Je ne sais même plus comment…et avec qui… »
Je suis là pour ça : toutes ces questions, c’est moi qui les lui poserai. Elles ne vous hanteront jamais, car vous aurez les réponses sous les yeux, et vous pourrez vous en délecter !
L’on a coutume de dire qu’une personne qui disparaît, c’est « une bibliothèque qui brûle ». C’est ma mère qui m’a donné l’idée de ce métier d’écrivain public, « rédactrice de biographies ». Elle a réalisé le récit de vie de ma grand-mère maternelle, en allant la voir deux fois par semaines dans sa maison de retraite. J’avais lu ce récit d’une traite, dès qu’il avait été imprimé. Mais à sa mort en 2016, je l’ai relu d’une toute autre manière : je l’ai dévoré, j’ai bu chaque mot, chaque virgule me parlait d’elle. Quel cadeau précieux !